La règle de base est de réduire au maximum les contacts avec les autres. Si vous devez quand même vous déplacer, voyagez seul et ne partagez pas le véhicule. Si toutefois une autre personne vous accompagne, assurez-vous qu’elle ne présente pas de symptômes aigus d’affection respiratoire. À la rigueur, portez un masque.
Selon les médecins, un nombre limité de points de contact sur le véhicule doivent être régulièrement traités pour réduire le risque d’infection. Il s’agit des poignées de porte, de l’encadrement des portières, du volant et du levier de vitesses. Pour être tout à fait complète, la marque a publié deux photos (voir ci-dessus et ci-dessous) en guise d’illustrations et a établi la liste de vérifications ci-dessous en vue de limiter le risque de propagation du Covid-19 (et d’autres virus) :
Comme la règle est de rester chez soi tant que faire se peut, certains d’entre vous n’utiliseront pas leur véhicule pendant une très longue période. Deux mois, voire plus.
Il n’est pas inutile, en cas de longue immobilisation de surgonfler les pneus de 200 ou 300 g. Pas besoin d’aller à la station pour ce faire, une pompe (à pied) à vélo (avec double embout et indicateur de pression) suffira.
La batterie est l’un des éléments à protéger, surtout si elle n’est pas toute neuve. Si vous avez un garage, vous pouvez brancher la voiture sur secteur à l’aide d’un ‘mainteneur’ de batterie. Certains la débranchent (dévisser une cosse suffit) mais renseignez-vous avant de le faire, surtout si vous avez une voiture récente, afin de ne pas dérégler toute l’électronique !
Pensez à démarrer le moteur une fois toutes les deux semaines pour maintenir une bonne lubrification de l’ensemble. À l’arrêt, l’huile a tendance à descendre dans le bas du moteur. L’opération doit durer un bon quart d’heure, car à l’arrêt, la voiture chauffe moins vite. Avec ce laps de temps, vous n’encrasserez pas les systèmes de dépollution, qui n’apprécient guère de tourner à froid.